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NASRI CHELBI - PSYCHO & SEXOLOGY

17 janvier 2011

les résultats de mon test PARSHIP

Suis-je animé par mon cœur ou ma tête ?

"Il est rationnel" ou "J'ai suivi mes intuitions" - Vous connaissez ce type de déclarations. Elles mettent en exergue les traits de caractère d'une personne, soulignent l'importance de la raison ("Tête"), des sentiments ("Coeur") et de l'instinct dans une personnalité, et indiquent comment le mélange de ces trois composantes influe sur le comportement. Le test PARSHIP permet de mieux cerner les tendances comportementales suivantes :

Raison - logique et objectivité déterminent le comportement. Les personnes guidées par la raison prennent une décision à "tête reposée". Important: cette caractéristique ne donne absolument aucun renseignement sur le niveau d'intelligence.

Sentiment - humeurs et émotions guident le comportement. Les personnes guidées par leurs sentiments décident et estiment "avec leur coeur".

Instinct - manière sensuelle et immédiate de réagir au monde. Ceux et celles qui se laissent guider par leur instinct agissent spontanément, avec "leurs tripes".

Mes résultats

Je me laisse volontiers guider par mes instincts et je cède souvent à mes propres besoins (50%). Comme je suis aussi pragmatique et circonspect (part de raison 25%), mon succès ne passe pas inaperçu. Je n'accorde que très peu d'importance à mes sentiments (part des sentiments 25%) lorsque je dois prendre une décision.

Sentiment (25%)

Instinct (50%)

Raison (25%)

Conseils pour mon choix de partenaire

Mon amour de la vie et ma jovialité sont contagieux. Je devrais m'efforcer - en particulier dans le cadre d'une relation - de laisser libre cours à mes sentiments. Ma propension à réfréner les moments chaleureux peut cependant refroidir et mes décisions peuvent sembler égoïstes. Cela peut être un atout dans la vie professionnelle, mais un homme, à la recherche de la bonnne partenaire souhaite en général un peu plus d'attention et d'affection. Si je veux établir une relation sincère, je devrai m'efforcer d'apprendre à mieux apprécier ces deux qualités. En ce qui concerne ma partenaire, je dois chercher plutôt une femme qui me permet de développer et d'exprimer davantage mon côté chaleureux.

Comment je gère les conflits ?

La façon dont je me comporte lors de conflits avec ma partenaire et réagis face à des déceptions est absolument décisive pour la réussite de ma relation. Mon diagramme PARSHIP différencie les tendances comportementales suivantes :

Générosité - Penchant pour la tolérance et l'accommodement lors de frustrations.

Tendance à se retirer - Réaction mélancolique face aux déceptions et à la frustration. En cas de maladie, on se retire et on souffre en silence.

Disposition aux compromis - Capacité à faire des compromis et à être diplomate.

Volonté de s'imposer - Le besoin de s'affirmer et d'imposer ses propres désirs. Les êtres qui s'imposent se distinguent par une forte volonté et du caractère.

Mes résultats

Lorsque quelque chose ne se déroule pas comme je le souhaite, je réagis en général de manière très différente : il est vrai que je me laisse souvent entièrement guider par ma forte volonté (43%) et que j'essaye de m'imposer tout de suite. Si cela me semble nécessaire, je suis capable de régler des conflits avec diplomatie (31%) et de trouver des compromis. La générosite (13%) et la tendance à me renfermer (13%) jouent un moindre rôle dans mon comportement.

Volonté de s'imposer

Générosité

Tendance à se retirer

Disposition aux compromis

43%

13%

13%

31%

Volonté de s'imposer (43%)

Générosité (13%)

Tendance à se retirer (13%)

Disposition aux compromis (31%)

Conseils pour mon choix de partenaire

J'ai beaucoup de volonté et je suis malgré tout en mesure de résoudre avec diplomatie des tensions. Si j'apprécie chaque situation avec justesse et si j'interviens au bon moment, je réussirai. Il est conseillé d'évaluer la situation avant d'agir : au sein d'une relation, je dois me demander si cela vaut la peine de rester ferme sur un point de vue ou s'il faut lâcher prise. Il me convient une partenaire chez qui la volonté de s'imposer et la disposition à l'équilibre sont aussi marquées que chez moi. Une femme qui sache ce qu' elle veut et sache reconnaître ce que je désirai.

Comment je me comporte lors d’une relation sérieuse ?

Ma façon d'aimer lorsque j'aime : désir sensuel et self-control, effet de votre côté féminin sur ma vie à deux et mon besoin de proximité.

* Energie psychique et self-control

 

Mon score pour énergie psychique : 111
 
Mon score pour self-control : 113

Je suis capable de sentiments forts et profonds. Je sais vivre mes envies sans blesser les sentiments des autres. J'ai besoin d'agir sur mon entourage de manière productive, et je parviens sans peine à donner de l'élan à mon entourage. Cette combinaison d'énergie et de raison me permet généralement de vivre une relation harmonieuse avec différents types de femmes.

Conseils pour mon choix de partenaire :

Il me faut une partenaire qui partage ma joie de vivre. Si elle est aussi créative que moi, notre couple n'en sera que plus animé : une vie intéressante même si tout ne sera pas toujours simple.

* Ma part féminine

Mon score : 114

Dans une relation, je suis prêt à satisfaire les désirs de ma partenaire. J'essaye de donner et de prendre de manière harmonieuse. Doux et sensible, je me montre compréhensif lorsque ma partenaire veut suivre ses propres envies dans l'intérêt de son épanouissement personnel.

Conseils pour mon choix de partenaire :

Cet état d'esprit me permet d'avoir du succès avec les femmes qui ne veulent pas d'une répartition classique des rôles au sein d'un couple. Mais je ne dois pas que trop de tolérance de ma part peut provoquer de l'indifférence chez ma partenaire. Même une femme indépendante attache de l'importance aux sentiments et aura besoin de voir en moi un soutien.

* Désir de proximité dans le couple

Mon score : 94

A quel point je souhaite être proche psychologiquement de ma partenaire ? Comme indiqué ci-dessus, le désir de proximité dans le couple est moins marqué chez moi que chez la plupart des hommes et des femmes. J'aime parfois me retrouver seul avec moi-même. être toujours avec ma partenaire n'est pas nécessairement ce que je recherche dans une relation à deux : cela m'étoufferait facilement et pourrait à la longue me rendre nerveux. Il importe pour moi que chacun puisse répondre seul à ses propres envies, le plus important étant de pouvoir faire confiance à l'autre.

Conseils pour mon choix de partenaire :

 

Il me faut une partenaire qui me laisse la liberté dont j'ai besoin, et qui soit capable de suivre ses propres intérêts et idées. Pour que je puisse m'épanouir dans une relation, je dois disposer de suffisamment de liberté pour satisfaire mes propes intérêts. Tout partager avec ma partenaire, dans le moindre détail, ne me tente que très modérément. Il me faut une partenaire qui aspire au même rapport de proximité et de distance que moi.

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14 février 2008

je suis fétichiste des gants des femmes

Nasri Chelbi

Dans les Trois essais de Freud, le fétichisme est cité dans le cadre des déviations par rapport au but sexuel, lorsque le sujet substitue à l'objet "normal" (homme ou femme) une partie du corps de l'autre ou bien un objet inanimé. Le fétichisme s'applique essentiellement à ce dernier cas, mais aussi par extension au fait de pourvoir l'objet humain de telle ou telle caractéristique nécessaire à la réalisation du but sexuel (vêtement, chevelure, particularité physique, etc.). L'usage exclusif d'un tel objet, ou d'un tel trait à des fins de jouissance non génitale définit le fétichisme. Et ce sont les gants que portent lesfemmes, qui définissent mon fétichisme.

Pour moi, la fonction des gants est comme le substitut du pénis de la mère, alors que mon regard tourné vers l'organe sexuel de la mère s'arrête à mi-chemin, fixé sur une image-écran qui servira de compromis entre l'absence constatée de l'organe et le désir de le maintenir à cette place.

De toute façon, le vrai fétiche, l'image "réelle" (mais hallucinée) des gants érigé à l'origine de ma croyance se trouve refoulée par l'image-écran que constituent les gants, disponibles, support de ma sexualité d'adulte. Le gant érigé en idéal remplace et refoule la vision ébahie et primitive de la nudité de la mère, le corps tout entier phallique de la mère, ou bien plus localement la toison pubienne, les seins. Par définition, le culte de la nudité disparaît chez moi car je suis fétichiste.

Tout comme Freud, j’insiste sur la division du sujet, à la fois je reconnais et je démens la castration féminine, en érigeant ce monument si particulier qui sont les gants, distincts des formations de compromis qu'engendre la névrose, puisqu'ils portent exclusivement sur une représentation du pénis féminin. Ils ont pour fonction de récupérer une portion du Ca, de la jouissance, abandonnée avec l'allégeance faite à la réalité, gouvernée par le symbolique et la loi du grand Autre. Les gants prenant valeur de jouissance sont rarement empruntés au corps féminin lui-même, mais plutôt à ce qui le borde, l'entoure, l'enveloppe, ou encore le prolonge. Par ailleurs, ils prennent également valeur d'objet cause du désir dans la mesure où, stoppant la dérive métonymique de l'objet manquant, fixant celui-ci sous l'emblème d'une partie anatomique ou extérieure du corps féminin, ils passent du statut de simple métonymie par rapport au phallus maternel au statut de métaphore nommant mon désir.

Seulement, quelque part, ils conservent cette dimension d'objet-déchet, d'objet usé bon à jeter qui singularise tant son propriétaire et jouisseur - car c'est dans cette mesure, sur fond évident de masochisme, que je m'identifie aux gants. C'est finalement cette référence chez moi aux gants plus que la signification phallique du fétiche repérée par Freud, qui permet de spécifier le fétichisme des gants comme structure. Mieux encore, c'est ce qui confère au fétichisme des gants une valeur paradigmatique pour toutes les perversions, en l'associant toutefois au masochisme. En effet, à partir du moment où toute perversion repose sur une identification structurelle (passive, féminine, masochiste) à l'objet de jouissance, saturant par avance tout désir, et que cela s'accompagne d'un déni de la castration maternelle, il s'ensuit à chaque fois un processus de fétichisation comme "retour" du déni (exactement comme on parle d'un retour du refoulé), avec formation de substitution dont l'organisation dite "fétichiste" ne serait qu'un cas particulier (comme le sadisme, le masochisme secondaire, etc.). En éclairant la position exclusive du moi-même en gants, en-deçà du choix des gants proprement dit, mon structuralisme opère une première généralisation : le fétichisme des gants se trouve désormais, au même titre que le masochisme, à la source de toute perversion. Cependant les gants restent marqués d'une détermination phallique renvoyant à l'Autre ; ils se situent, irrémédiablement, quelque part entre moi et l'Autre et ne me représentent jamais que pour le second. Or même si le processus de formation du gants-fétiche et l'identification du moi-même obéissent aux lois familiaristes de la psychanalyse, la logique du réel est tout autre : la signification des gants ne saurait être que leur autonomie radicale, leur impuissance à représenter quoi que ce soit - ni moi, ni phallus, ni Autre - sinon la jouissance elle-même. Le fétichisme des gants est la vérité de la perversion (et la perversion la vérité de la jouissance) parce que les gants, en tant qu'Unicité, Différence radicale, Jouissance exclusive, etc., ne sont pas tant le substitut d'un manque réel (comme l'enseigne la psychanalyse) que le clone d'un Réel 1 où les relations (donc le manque) n'existent pas encore.

7 février 2008

La psychosexologie ?

La Psychosexologie permet une approche plus pointue de nombre de difficultés liées à la sexualité et à la vie de couple. Les blocages de tous ordres doivent être abordés dans un esprit d'ouverture et de respect et ce ci est toujours indispensable pour se créer un climat de confiance.

La sexologie est une discipline éclectique et pluridisciplinaire : elle étudie la sexualité dans ses aspects biologique, psychologique, socioculturel, juridique… La sexologie clinique quant à elle, comprend la biosexologie qui étudie les aspects médicaux et la psychosexologie qui envisage les causes psychologiques et relationnelles.

Le consultant s’adresse donc toujours à un médecin, un psychologue, un psychosociologue… titulaire d’une spécialisation universitaire en sexologie complétée par une analyse ou une formation didactique.

Le sexologue clinicien, quelle que soit son orientation méthodologique (conseil conjugal, psychothérapies, thérapies comportementales, sexothérapies à médiation corporelle, psychanalyse, sexoanalyse, etc.), écoute la personne tant dans ses aspects intrapsychiques que relationnels, largement attentif au non-verbal et à l’expression du corps, conscient du sens éventuellement caché de la plainte comme symptôme d’autre chose que le dysfonctionnement explicité. En effet, la vie sexuelle implique la génitalité mais aussi l’équilibre psycho-affectif et social des partenaires.

Le malaise, le dysfonctionnement sexuel (troubles de l’érection et de l’éjaculation, manque de désir et d’orgasme, vaginisme…) s’inscrit dans l’histoire (personnelle, familiale…) du sujet, dans ce qui précède l’apparition du symptôme. Dans ce contexte, les problématiques sont analysées à partir du vécu, de ce que la personne ressent, éprouve, c’est à dire son expérience émotionnelle.

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NASRI CHELBI - PSYCHO & SEXOLOGY
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